Une plongée dans le labyrinthe de verre créé par Anne Imhof à travers lequel elle met en relief les jeux de pouvoir, de soumission et de perte de contrôle. Le Palais de Tokyo, vidé de toutes ses structures éphémères et réduit à son ossature, devient un territoire de résistance et de résonance.

 

Des gravures de Piranèse aux graffitis d’un immeuble abandonné, Anne Imhof sublime l’esthétique de la ruine pour révéler l’éphémère, la vanité de celles et ceux qui prétendent créer pour l’éternité.

 

Un parcours qui explore le« fond diffus » romantique de l’exposition où se confrontent (et se nourrissent) une humeur mélancolique et une aspiration à l’émancipation.

 

Un parcours pour analyser la présence des corps dans l’exposition, leurs diversités, leurs formes et leurs fluidités.

 

De la beauté des couchers de soleil aux menaces des nuages atomiques, ce parcours explore une exposition vivant au rythme du mouvement des astres pour faire apparaître des images célestes et politiques.

 

Révolte, chaos, marginalité et poésie. Ce parcours de l’exposition Natures mortes est vu à travers le prisme de l’une des influences majeures d’Anne Imhof : le poète Arthur Rimbaud.

 

Un parcours qui explore la manière dont Anne Imhof et ses artistes invité-e-s offrent des alternatives aux canons masculins et proposent une autre lecture de l’histoire de l’art.

 

L’exposition d’Anne Imhof vous est présentée par un groupe d’abominables fantômes en vacances qui trompent l’ennui en s’essayant au Black metal, la plus effrayante des musiques.

 

Une présentation de l’exposition Nature mortes rédigée de manière à la rendre accessible au plus grand nombre et notamment aux personnes en situation de handicap mental.